Mais ça c'était avant.
Avant que je ne croise l'ail fumé dans un de mes rayons préférés, rayon déjà évoqué cette semaine sur la Gazette des fourneaux (ici).
C'est une spécialité du nord, j'ai retrouvé les tresses d'ail fumé d' Arleux au salon de la gastronomie il y a quelques semaines.
A l'origine, au 18 ème siècle, l'objectif était la conservation plutôt que le goût car le fumet ne dépasse quasiment pas l'enveloppe des têtes d'ail mais les tresses sentent bien la fumée.
L'ail est légèrement séché au vent avant d'être tressé et fumé autrefois à la tourbe mais maintenant on utilise un mélange de sciure de bois et de lignite( sorte de charbon).
La gousse d'ail est donc blanche, moins juteuse mais pleine de saveurs et surtout nous avons testé et approuvé sa digestibilité cru sur des salades ou cuit comme dans le risotto à d'épeautre du billet précédent.
Voilà de quoi varier les goûts de nos menus "minceur" sans alourdir l'ardoise calorique.
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